Piarres Larzabal Kolegioa

 

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Mardi 14 février, pendant la pause déjeuner, les 28 danseurs ont eu leur dernière séance de stage hip hop.

Après avoir répété plusieurs fois, ceux qui le sentaient ont offert un mini spectacle devant le public constitué de leurs camarades.

Sur le rythme musical, avec du style et très fiers d'eux, ils ont montré leur talent en représentant une chorégraphie comprenant différentes figures comme le baby freeze, top rock, six step, coffee grinder.

Ce stage a été très riche, intéressant et très apprécié des participants : "c'était très bien, nous avons appris de nouveaux pas, j'ai aimé, même si nous étions fatigué quand il faisait chaud, c'était super et nous avons beaucoup ri..." ont exprimé certains élèves lors du bilan oral final.

Un grand bravo à tous ceux qui ont participé et un grand merci à toi Ani !

En atelier de travaux manuels, nous nous sommes retrouvés une dizaine d'élèves deux fois par semaine, pour donner vie à Zanpantzar 2017.

Nous avons tout d'abord commencé par réaliser le corps en recyclant du papier et du carton. Nous avons ensuite rempli son corps en l'habillant d'un vieux jean et de vieux vêtements. Nous avons utilisé une perruque blonde et lui avons rajouté des yeux bleus. Nous est venue une jolie idée de créer Zanpantrum. Nous avons mis en avant sa richesse en garnissant son chapeau de billets et en lui rajoutant deux bagues en or à ses doigts. Nous lui avons fabriqué un trône égal à son niveau.

Nous espérons que le feu sera aussi grand que son personnage ! Nous lui souhaitons une belle mort !

Le groupe Zanpantrum

Vendredi 10 février, le collège a organisé pour les élèves de 4ème et 3ème, une conférence avec Amaia Recarte, avocate.

Tout d'abord, elle a essayé de placer le harcèlement dans le contexte social, ensuite elle leur a donné un exemple de harcèlement scolaire et enfin, elle a listé les différentes personnes confrontées à ce problème :

- la victime : celle qui subit

- l'harceleur : celui qui fait subir

- le témoin : celui qui voit, qui entend

- le cadre scolaire

En se référant au film passé récemment "Marion 13 ans pour toujours", Amaia a expliqué le cas de harcèlement scolaire qu'a vécu Marion afin que les élèves définissent le harcèlement : C'est embêter régulièrement, à longueur de temps une autre personne par des comportements oraux et physiques déplacés. Les élèves ont essayé de lister quels pouvaient être ces comportements : insultes, surnoms, messages, réseaux sociaux (facebook, instagram...), téléphones (sms, snapchat, whatsApp...), violence verbale et physique, menaces, surnoms, écarter quelqu'un....

Amaia a par la suite demandé aux élèves quels étaient les recours pour demander de l'aide : les copains, différents adultes du collège, la famille, la justice, la police...

Après jugement, l'avocate leur a expliqué les punitions éventuelles données : amende et prison, la plus petite étant : un an de prison et 15 000€ d'amende. Elle a pris pour exemple ce qui est arrivé dans un lycée : la victime qui avait des cheveux roux est restée 40 jours en hôpital psychiatrique et le harceleur a écopé une peine de 3 mois de prison avec sursis.

Elle a terminé en insistant que la présence de témoins est indispensable et importante lors d'un harcèlement et que d'en parler n'est pas dénoncer mais protéger, aider la victime.

Harcèlement ? Appeler le 3020

Enfant en danger ? Appeler le 119

Ce jeudi 9 février, les élèves de la classe ULIS ont fait le trou pour le pommier en faveur du Lycée Etxepare, que l'on plantera la semaine prochaine.

Grâce à l'utilisation de la pioche et de la fourche, ils ont troué et retiré la terre avec des pelles.

Ils ont obtenu un beau trou de 80 cm de diamètre et de 60 cm de profondeur.

Afin de sécuriser le lieu, ils ont rajouté une bande rouge et blanche autour.

Dans une semaine, à l'occasion du carnaval, nous pourrons y planter le pommier de l'euskara.

Un grand bravo à eux !! Teo, Unai R, Unai M, Peio S, Gexan, Oier, Zuhain, Yon, Iban et Xarles !

Depuis début janvier, l'association sportive Olagarroa organise le championnat de ballon prisonnier pendant la pause déjeuner, les lundis et jeudis.

L'objectif est de lancer le ballon afin de toucher tous les joueurs de l'équipe adverse dans une aire préalablement définie.

Les joueurs propulsent le ballon, se font des passes et s'évitent, tout en essayant de trouver des stratégies au sein de l'équipe.

Dix équipes en sixième - cinquième et cinq en quatrième - troisième y participent de manière compétitive.

Les autres élèves viennent participer dans le public réuni à la salle de sport du collège, applaudissent et encouragent leurs camarades.

Très bonne ambiance !! Bonne chance !!

La semaine du 6 au 10 février est spéciale pour les élèves de 3ème de la classe ULIS... Ils sont en train de passer leur brevet professionnel blanc...

Ils ont début lundi matin par 3 heures d'histoire et 2 heures de français l'après-midi.

Mardi, 3 heures de mathématiques le matin et 2 heures de sciences l'après-midi.

Vendredi matin sera le dernier jour pour se défier autour de la dictée pendant une heure et deux heures d'expression écrite.

Un lecteur et un secrétaire par élève ont été nommés pour les suivre pendant leur examen.

Nous leur souhaitons de le réussir !! Bon courage !!

Cette année, les élèves de 4ème mèneront un projet autour de la "transmission", avec l'aide de Compagnies de théâtre. Le vendredi 27 janvier, les élèves sont allés au Centre Culturel Larreko à St Pée, voir le spectacle "Ceci est la couleur de mes rêves" représenté par la compagnie Rouge Elea, qui est le tremplin du projet.

"Dansez, dansez, sinon nous sommes perdus" disait Pina Bausch. En partant de ce précepte, une femme convoque son héritage culturel pour danser la vie. Munie d'une veste trop grande pour elle, de cordes et tissus, objets hérités, elle entreprend de se suspendre au-dessus du vide pour éprouver une forme de liberté. Un mouvement euphorique pour continuer à faire vivre la mémoire des disparus.

La compagnie Rouge Elea explore une poétique au croisement du cirque aérien, de la danse, de la musique, des objets et de l'image.

Courant avril, les élèves de 4A, aidés par Corinne de la Compagnie, créeront un spectacle autour du cirque et de la danse. Quant aux 4B et 4D, ils joueront des textes qu'ils auront écrit en classe et qu'ils mettront en scène, lors d'ateliers, avec les Chimères (4B) et la Compagnie Nanoua (4D), en mars et juin.

Ces deux dernières semaines, un nouvel atelier entre midi et deux heures a été proposé à tous les élèves intéressés : Stage de Hip Hop en basque !

Pendant 4 semaines, les mardis et vendredis, 28 élèves se retrouvent à la salle de sport avec la chorégraphe Ani de l'association Dantz'ani pour travailler les mouvements et apprendre des pas de hip hop.

Ils sont en plein apprentissage et perfectionnement de deux pas pour l'instant, le "top rock" et le "six step", avec déjà un style de rappeur.

Ayant pour objectif de travailler l'expression corporelle, les 25 sixièmes et les 3 troisièmes très motivés y participent très activement, dynamiquement et se montrent très intéressés, tous les mouvements sont bien acquis. Quel talent !

Continuez ainsi et un grand bravo à vous tous !!

Mardi 17 janvier, en dernière heure, deux anciens élèves de Seaska ont présenté leurs métiers aux élèves de 3ème : 

1/ Goizeder Tabena, Journaliste à Mediabask :

C'est un emploi adapté à tous ceux qui aiment écrier et qui souhaitent rester ici. Pour devenir journaliste, plusieurs formations sont possibles : intégrer une école de journalisme à Leioa (près de Bilbo), Bordeaux, Toulouse, Tours ou Paris, passer une licence - master littéraire, apprendre sur le terrain ou par alternance (deux semaines à l'école et 6 au journal),

Goizeder a répété à plusieurs reprises qu'il manque des journalistes bascophones et qu'il y a du travail dans ce domaine. Les élèves lui ont demandé si le salaire était intéressant. Sa réponse : "si tu travailles au journal "Le Monde" oui, par contre si ce métier te plait ici, tu gagnes le minimum suffisant pour vivre au pays."

2/ Iban Ithurbide, plombier :

Il a présenté les différents domaines du bâtiment : chauffage, plomberie, énergies, panneaux solaires... Lorsque l'on se lave les dents ou que l'on se douche, nous ne prenons pas forcément conscience que l'eau y a été amenée, grâce à des métiers comme ceux-là.

Il leur a montré des photos de différents travaux réalisés mais aussi les conséquences d'un travail mal fait par manque de formation.

Dans ce métier, il vaut mieux être habile de ses mains, il est possible de travailler dans les bureaux aussi. D'autre part, pour se former, il est conseillé de passer un CAP - BEP sur Hasparren ou Cantau, un BAC-Pro, un BTS et de continuer en Université à l'IUT de Pau, option "énergie". Iban leur a souligné que les plombiers bascophones sont demandés dans ce secteur, qu'il y a du travail et que ce métier rapporte de l'argent. Il a rajouté qu'il a eu de la chance d'avoir une transmission familiale, de pouvoir travailler au pays et qu'il aime son métier.

Un grand merci à Goizeder et Iban !!

Lundi 23 janvier à 19h, la réunion pour les futurs parents de sixième a été organisée.

Près de 50 parents s'y sont rassemblés.

Suite au mot d'accueil d'Edurne Manterola, actuelle Directrice, Mr Jean-François Mercier, membre du besta talde a souligné qu'au collège aussi, l'implication des parents d'élèves est nécessaire. Par la suite, Maritxu Larzabal l'animatrice a projeté un petit film de présentation du collège. Ensuite, les actuels professeurs principaux de 6ème Iñaki Lecuona, Karmele Sorrondo ainsi que Ttoni la CPE, ont répondu aux différentes questions posées apr les parents. Toute la séance a été menée en langue basque et la traduction en français par casque assurée par Mathilde Etxart Gracy.

Pour terminer la réunion, les parents ont pu visiter le collège : salle de classe, laboratoires, réfectoire...etc... et sont rentrés à la maison avec un petit livret qui leur a été remis.

Nous leur souhaitons à eux aussi de bien terminer leur dernière année au primaire et de soutenir leur enfant pour la rentrée de septembre !